lundi 3 janvier 2011

...Henry Miller au Sel de la Semaine (1 sur 6) !



Première partie de cet interview.  J'avais 16 ans, j'étais déjà conquise par la simplicité, la liberté et la vérité qui émanait de cet homme!

5 commentaires:

Anonyme a dit...

Excellent interview!

J'admire cet homme. J'ai eu pas mal de difficultés à le lire.

Accent Grave

Zoreilles a dit...

Je viens de me taper les 10 minutes de cette entrevue, non sans difficultés techniques, mais ça valait la peine de persister. Un pur ravissement. Merci Marico.

J'en tire des conclusions personnelles fort enrichissantes.
Je me souviens que, petite, j'aimais Fernand Séguin et Le Sel de la semaine. C'est flou dans mes souvenirs mais j'ai retrouvé ça avec une certaine nostalgie, comme un petit bout d'enfance où je me sentais différente des autres parfois, un côté intellectuel de ma personnalité que je refoulais... As-tu vu comme le thème d'ouverture de l'émission dure longtemps? Tout allait moins vite dans ce temps-là, on se donnait le temps de de se préparer, de réfléchir, d'analyser et d'apprécier ces grandes rencontres.

Monsieur Henry Miller est tout un philosophe, sans âge, son propos ne vieillit pas. Il n'est pas à la mode peut-être mais toujours d'actualité.

Marico Renaud a dit...

Accent Grave: J'avoue le lire avec un dictionnaire pas loin. Sa passion pour les mots, particulièrement ceux qu'on emploie rarement me fait voyager d'aplomb. La suite de cet interview se retrouve sur Youtube en 6 extraits de plus ou moins 10 minutes.

Marico Renaud a dit...

Zoreilles: Que je comprends ton plaisir à retrouver le Sel de la Semaine! J'ai carburé au Sel et à Point de Mire durant mon adolescence. Toi aussi j'en suis certaine. Quant à Miller, son univers est d'une richesse incommensurable. Généreux dans la vie et dans son oeuvre, il offre tout.

Une femme libre a dit...

Il a de la misère à prendre des décisions et c'est sa femme qui décidera où ils habiteront. Lui, il a une piscine chauffée et il joue au ping-pong, ça lui suffit! Il pourrait habiter n'importe où. J'aime sa candeur et sa franchise. Il a beaucoup de charme. Je l'ai lu aussi dans ma jeunesse. Nul doute que je découvrirais autre chose si je le relisais aujourd'hui...